Molloy 2

Publié le par alain.pineau.pino.over-blog.com

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Publié dans les gargouilles

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C
<br /> Monsieur Nietzche : "J'ai cessé de croire aux "grands évènements" qui s'accompagnent de hurlements et de fumée. Et crois-moi, je te prie, cher vacarme d'enfer, les plus grands évènements, ce ne<br /> sont pas nos heures les plus bruyantes, mais les heures du plus grand silence."<br />
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J
<br /> Il semble se reprendre un peu mais la colère couve .Les spectres du rouge chassent ce vert qui pouvait sembler rassurant .<br />
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M
<br /> Si je me réfère au titre, je sais que je fais fausse route. Mais j'ai envie, moi, de faire cette route-là, même si ce n'est pas la même que la tienne ! Je suis frappée d'emblée par un paradoxe :<br /> la quiétude du "pêcheur", son attente un peu alanguie, jambes pendantes, au repos, dans ce vert de printemps où tout parle de retour à la vie, et son regard qu'on devine, son regard de colère<br /> sourde assorti au ciel ... Et c'est cette colère qui efface tout le reste.<br />
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C
<br /> Je n'ai rien à dire. Je regarde et je sais qu'il me voit. Si le ciel est de sang l'horizon fait marcher les forêts. Assis, il pousse entre ses jambes, ses jambes mortes, une autre jambe. Molloy<br /> ne fait plus rien, il souffre...et attend...Il y a le gris aussi en vapeur d'eau... <br />
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